4° plan autisme

2018-2022
– changeons la donne –

Remettre la science au coeur de la politique publique de l’autisme -> recherche d’excellence.
– Créer un réseau de recherche d’excellence
– Constituer des bases de données fiables
– Assurer une diffusion rapide des connaissances
– Soutenir le développement des technologies facilitant l’apprentissage et l’autonomie des personnes autistes

Intervenir précocement auprès des enfants
– Repérer les écarts de développement des très jeunes enfants (formation des professionnels)
– Confirmer rapidement les 1° signaux d’alerte. 1° ligne : médecins. 2° ligne : professionnels.
– Intervenir immédiatement et réduire les délais de diagnostic. 2° ligne : plateforme d’intervention et de coordination. Bilans complémentaires par des professionnels libéraux.
– Réduire très fortement le reste à charge pour les familles. Forfait d’intervention précoce.

Rattraper notre retard en matière de scolarisation.
– Scolariser en maternelle tous les enfants autistes (+ UEMa)
– Garantir à chaque enfant un parcours scolaire luide et adapté à ses besoins, de l’école élémentaire au lycée.
AVS deviennent AESH
Ulis
UE élémentaire Autisme
– Former et accompagner dans leur classe les enseignants accueillant des élèves autistes. Professeurs spécialisés et actions d’information et de sensibilisation.
– Garantir l’accès des jeunes qui le souhaitent à l’enseignement supérieur.

Soutenir la pleine citoyenneté des adultes.
– Mettre fin aux hospitalisations inadéquates des adultes autistes et renforcer la pertinence des prises en charge sanitaires.
– Accompagner l’autonomie des adultes en leur proposant un logement adapté (diversifier, accompagner)
– Insérer les personnes en milieu professionnel (Esat hors les murs)
– Soutenir le pouvoir d’agir des personnes autistes.

Soutenir les familles et reconnaître leur expertise.
– Développer des solutions de répit pour les familles
– Amplifier la formation des aidants sur l’ensemble du territoire
– Mettre en place de nouveaux dispositifs de soutien et d’accompagnement
– Reconnaître l’expertise des familles vis-à-vis des institutions et des professionnels